BLAISE, Marguerite, fut baptisée le 29 avril 1659 (Godbout) dans la paroisse de Saint-Sambin, ville de Nantes (Loire-Atlantique). Fille de Jean Blaise et de Mathurine Malescot, elle immigre en Nouvelle-France comme fille du Roi en 1669.
Elle épouse dans la région de Québec Jean Pasquier, fils de Pierre Pasquier et de Suzanne Birodeau (contr. Becquet, 23·10-1669). Quelque temps après le mariage, elle devient veuve et se remarie avec Isaac Harnois (né en 1641), fils de Abraham Harnois et de Marie Adrien (contr Duquel, 18-01-1670). Le 2 février 1695. Marguerite Blaise est hospitalisée pendant cinq jours à l’Hôtel-Dieu de Québec. Son époux décède à Sainte-Foy en 1703. Elle décède à Saint-Augustin en 1726 et elle fut Inhumée le 16 juin.
Les deux actes de mariage de Marguerite Blaise demeurent introuvables. (DGFC, vol. 1 p. 299), (RAPO, vol. 38-39, p. 392). (FANF, p. 168).
CHAUVEAU, Joseph-Jean, né vers 1705 (sépult.) dans le village de Saint-Ginoux, canton de Châteauneuf (Ille-et-Vilaine) de l’union de Joseph Chauveau et de Perrine Legendre Il épouse à Sainte-Foy près de Québec, le 2 mai 1731, Françoise Catherine Liénard (née en 1707) fille de Sébastien Liénard et de Catherine Bonhomme (contrat Dubreuil, 28-04-1730).
Sa femme décède en 1747 lui laissant cinq enfants en bas âges. Le 21 avril 1749, il épouse en secondes noces, à Québec, veuve Marguerite Lareau (née en 1713), fille de Pierre Lareau et de Marguerite Badeau (contrat N. Pinguet, 18-04-1749) Joseph-Jean Chauveau passa sa vie à Sainte-Foy ou il fut inhumé le 21 janvier 1760 âgé d’environ 55 ans. (DGFC, vol. 3, p 44). Variation du nom: Cheneau
GIRAUD , Guillaume, né en 1657 (Sepult.) ou 1662 (RMHDQ) dans la ville de Landivisiau (Finistère). du mariage de Robert Giraud et de Jeanne De Tanguet. Soldat des troupes de la Marine, Guillaume Giraud est hospitalisé à l’Hôtel-Dieu de Québec pendant sept jours le 25 juillet 1693.
Le 8 novembre 1700, il épouse, à Beauport, Louise Gallien. fille de Robert Gallien et d’Anne Masson. En 1701, il réside à Sainte-Foy pendant quelques mois avant de s’établir détinitivement à Québec. En 1716, on retrouve Guillaume Giraud sur la rue Sault-au-Matelot où il réside avec sa famille. Journalier, Guillaume Giraud décède à Québec le 27 novembre 1727. (OGFC, vol. 4, p. 290). Variation du nom: Girot et Giroux (rec. 1716)
LINTEAU, Jacques (Jean), né le 5 janvier 1731 .dans le village de Plestin-les-Grèves, près de Lannion (Côtes-du-Nord), de l’union de Maurice Linteau et de Constance Brigand (Françoise Briand). Les circonstances de son arrivée en Nouvelle-France demeurent Inconnues.
Le 27 février 1764, Jacques Linteau épouse à L’Ancienne-Lorette Marie-Anne Levasseur (née en 1738), fille de François Levasseur et de Madeleine Legris (contrat Moreau, 17-02-1764). En 1764, Jacques Linteau est agriculteur à L’Ancienne-Lorette. En 1778, on le retrouve avec sa famille à Sainte-Foy. Il est décédé à l’Ancienne-Lorette le 18 mars 1803. (DGFC. vol. 5, p. Variation du nom: Lintans (bapt.)
MAINGUY, Claude-Louis, né en 1710 contr. mar.) ou 1711 (RMHDQ) dans la ville de Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) du mariage de Claude Mainguy et d’Anne Mahia.
Le 17 octobre 1735. Claude-Louis Mainguy, jardinier, épouse à Québec Marguerite Payant-Saint-Onge, (née en 1717), fi!le de Jacques Payant dit Saint-Onge et de Marguerite Sédilot (contrat Dulaurent, 16-10-1735). En 1738, Il habite Sainte-Foy puis, vers 1740, se fixe définivement à Saint-Augustin comme agriculteur. Sa femme, Marguerite, est décédée dans cette paroisse le 10 décembre 1761 lui laissant plusieurs descendants.
L’année suivante, Claude-Louis Mainguy est présent au recensement de Saint-Augustin. Claude-Louis Mainguy fut hospitalisé à trois reprises à l’Hôtel-Dieu de Québec: la première fois le 24 juillet 1733 pour une période de sept jours et par la suite, il séjourne de nouveau à l’Hôtel-Dieu en 1738 et 1739. OGFC, vol. 5, p. 471) (RAPQ, 1925-26, p. 99) (OFC,p. 211)
NAUD dit St-Crespin, Jean-Baptiste, né en 1642 (sépult.) dans la paroisse de La Trinité, ville de Machecoul (Loire-Atlantique), du mariage de Jacques Naud et de Perinne De Clavier.
Le 21 juillet 1621, il épouse à Québec Marie Bonhomme (née en 1647), fille de Nicolas Bonhomme et de Catherine Gouget (contrat Audouart, 07-11-1660). Quelques temps après son mariage, on le retrouve sur la Côte de Beaupré où il est agriculteur. En 1674, Jean-Baptiste Naud signe un bail à ferme avec Noël Pinguet (contrat Duquet, 20-05-1674). En 1680, i obtient une concession des Jésuites à la Côte Saint-Michel (contrat Rageot, 08-03-1680).
En 1681, il réside au même endroit. Jean-Baptiste Naud est décédé à Sainte-Foy le 2 mai 1699. Sans descendance. (DGFC, vol.1, p.449) (cons. sup., vol. 2, p. 921 ss.) Variation du nom : Nau et Neau (rec. 1667).
RICHARD, François, né vers 1722 (Godbout) dans le bourg de Chauvé, canton de Saint-Père-en-Retz (Loire-Atlantique, du mariage de Jacques Richard et de Marie Cormier.
Le 16 août 1747, il épouse à Sainte-Foy, près de Québec, Françoise De Lavoye, veuve de Michel Gendron. Sans descendance. (OGFC, vol. 6, p. 580)
TURMEL, Jean, né en 1733 (mar.) dans la ville de Pleurtuit (Ille-et-Vilaine), du mariage de Jean Turmel et de Louise Vincent. Menuisier de métier, il arrive en Nouvelle-France en 1751.
Le 24 avril 1762, il obtient la permission de se marier de Mgr Briand. Le 10 mai suivant, Jean Turmel épouse à Sainte-Foy, Françoise Bisson (née en 1732), fille de Jean-François Bisson et de Françoise Petitclerc. En 1763, il habite Sainte-Foy et, en 1764, il se dirige vers Saint-Joseph-de-Beauce. Jean Turmel arriva en Nouvelle-France comme mousse sur le vaisseau « L’Angélique ». (DGFC, YOI. 7, p, 389) (RAPQ, vol. 32-33, p. 127)